Le schisme de 1054 ou grand schisme d'Orient voit la séparation officielle entre les chrétiens catholiques (dans l'ouest de l'Europe) et les chrétiens orthodoxes 

Le schisme a été, dès l'annonce du bris du conclave, un objet de sollicitude de la part des membres de l'université de Paris. À ce titre, Jean de Gerson apparaît comme une figure de premier ordre, artisan d'un appareillage intellectuel pour penser le schisme et pour en venir à bout. SYNONYME. SCHISME, HÉRÉSIE. Dans le langage de l'Église catholique romaine, il y a schisme quand, ne se séparant pas sur des points essentiels de doctrine, on se sépare de la communion avec l'Église et de l'autorité du saint-siége ; il y a hérésie, quand on se sépare de l'Église sur des points considérables : les Grecs sont schismatiques, les protestants sont hérétiques. Le schisme de 1054 est une dénomination traditionnelle en histoire du christianisme pour la séparation, ou schisme, entre les Églises d’Orient et d’Occident. Il s'agit cependant d'une construction historiographique, selon laquelle cette séparation correspond aux excommunications réciproques entre un légat du Pape et le Patriarche de Constantinople en 1054. Le schisme de 1054 ou grand schisme d'Orient voit la séparation officielle entre les chrétiens catholiques (dans l'ouest de l'Europe) et les chrétiens orthodoxes (dans l'est de l'Europe et dans les possessions asiatiques de l'Empire byzantin, ou empire romain d'Orient). Cette rupture est l'aboutissement de divergences anciennes qui s'élargissent progressivement entre les deux parties de la Le Grand Schisme d’Occident débute en 1378, dans une période de crise grave pour l’Occident médiéval, non seulement avec la Guerre de Cent ans, mais également avec les différents soubresauts qui agitent la papauté, notamment dans son affrontement avec le roi de France, Philippe le Bel. Cela conduit tout d’abord à l’installation du pape en Avignon à partir de 1309, ouvrant une

28 janv. 2016 L'origine des schismes du côté de Dieu : Il préfère le schisme (provisoire en cette terre) à l'orgueil (et la damnation éternelle). Illustration par 

Schisme de 1054. Le schisme de 1054 désigne en principe la rupture survenue le 16 juillet 1054 entre l’Église de Rome (Occident) et l’Église de Constantinople (Orient). Au XI e siècle, les relations entre le patriarche de Constantinople et le pap Dans le Code de droit canon, le schisme est défini comme un «refus de soumission au Pontife suprême ou de communion avec les membres de l’Eglise qui lui sont soumis» (cf. canon 751). C’est donc d’une rupture de la communion, qui est l’essence même de l’Eglise. Tandis que l’hérésie signifie un désaccord sur un point de doctrine (rejet d’un dogme comme, par exemple, celui de la divinité du Christ). Quant à l’apostasie, elle se manifeste à travers le rejet total de la

Le schisme de 1054 est une dénomination traditionnelle en histoire du christianisme pour la séparation, ou schisme, entre les Églises d’Orient et d’Occident. Il s'agit cependant d'une construction historiographique, selon laquelle cette séparation correspond aux excommunications réciproques entre un légat du Pape et le Patriarche de Constantinople en 1054.

divergences, de rivalités et parfois même de conflits, dont le paroxysme correspond au schisme de 1054. La divergence d’interprétation de la primauté romaine L'essentiel du contentieux entre Occident et Orient porte sur l'étendue du pouvoir accordé respectivement à Rome et à Constantinople.